Parmi les salades de campagne servies par les opposants à l’achat de nouveaux avions de combat, celle d’avoir fait croire et fait voir à la population suisse que le Conseil fédéral lui proposait de signer un « chèque en blanc ».
Dans le feu de l’action d’un débat politique, lorsque l’on est tout à son affaire de couper la parole de l’autre pour imposer la sienne, qui plus est en élevant la voix pour couvrir celle de l’animateur du débat, il arrive que l’on se retrouve pris en flagrant délit de dire n’importe quoi ; en l’occurrence, de raconter des salades pour faire accroire les auditeurs avec le ton de l’autorité. Décryptage réalisé par l’internaute Sylvain Borne.
Air2030 – Non, monsieur Fridez, l’Aermacchi n’est pas « amplement suffisant » Après lecture de l’interview accordée au journal Le Temps (en page 3 de l’édition du 26 août 2020) par le conseiller national socialiste Pierre-Alain Fridez (JU), une conclusion s’impose :
Infox : « … les FA/18 qui ont besoin de 15 minutes de chauffe pour démarrer alors que les avions légers démarrent immédiatement … » – Brigitte Crottaz, conseillère nationale socialiste vaudoise
Une plongée dans la nébuleuse d’une société commerciale aux allures de think tank académique et qui a produit du jour au lendemain un rapport bien favorable aux opposants à Air2030.
Infox : le concept alternatif du Parti socialiste suisse basé sur une acquisition d’avions de combat légers assure à la Suisse une « double sécurité à moitié prix ».
